Charlie Winston: Le bon, la belle et les beaux bums

Charlie Winston (avec le bassiste Daniel Marsala en arrière-plan), vendredi, au Théâtre Corona. Photo Catherine Lefebvre.

Il tombait bien, ce show de Charlie Winston, vendredi soir, au théâtre Corona, après une journée ponctuée de chutes de neiges, de pluie et de verglas. D’autant plus qu’avec la panne d’électricité survenue en début de soirée, tout valait mieux que de rester à la maison tout seul dans le noir.

Par Philippe Rezzonico

De l’électricité, il y a en avait au Corona. Dans l’air, notamment, quand Charlie et ses collègues se sont pointés vers 22h10. Pas mal de fébrilité de la part des jeunes filles et femmes qui attentaient le musicien à l’allure fripée soigneusement étudiée : cheveux en bataille, cravate portée de façon négligée, redingote à la coupe très particulière… Le hipster parfait pour l’entrée en matière rugueuse et un peu brouillonne de Wild Ones.

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