Festival Osheaga (2012 à 2014) : les années fastes

Habitée, Florence Welch. Photo courtoisie evenko/Nick Leger

Le Festival Osheaga, qui célèbre son 10e anniversaire ce week-end, est né à un moment où Montréal était déjà surnommée « la ville des festivals ». Était-il nécessaire? Indiscutablement. N’importe quel amateur sérieux de musique voyait ce qui se passait ailleurs (Angleterre, Europe, États-Unis) et souhaitait l’apparition d’un festival de musique du même genre où, justement, bien des genres y seraient représentés.

Par Philippe Rezzonico

On le sait, l’aventure n’était pas gagnée d’avance. Mais l’édition 2015 sera la quatrième à afficher salle comble depuis 2012. Retour exhaustif, mise en contexte et survol des coups d’éclats et des ratés des trois dernières années, les années fastes.

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Bilan spectacles 2014 : 20 grands moments et quelques dérapages

Stromae: un bombardement sensoriel constat. Photo courtoisie FrancoFolies/Frédérique Ménard-Aubin

J’ai vu des tas de bilans de disques au cours du dernier mois. Mais pratiquement aucun des meilleurs – ou pires – spectacles de l’année. Pourtant, désormais que la musique ne vaut plus rien (merci U2), c’est avec le prix parfois exorbitant des spectacles que le consommateur/amateur de culture se fait avoir ou pas.

Par Philippe Rezzonico

Heureusement, la majorité des artistes se prépare adéquatement et se donne sur scène. Cela mène à ce bilan très personnel de spectacles vus ici et ailleurs. Très majoritairement d’exceptionnels à excellents… mais avec quelques dérapages. On se souhaite une année du genre en 2015.

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Osheaga, jour 2 : Jack, Nick… et Elvis

Nick Cave: l'intensité à son meilleur. Photo courtoisie evenko/Pat Beaudry

Après une première journée qui faisait la part belle au hip-hop et aux DJ, les guitares revenaient à l’avant-scène en soirée dans les cases horaires des scènes de la Rivière et de la Montagne au Festival Osheaga, samedi.

Par Philippe Rezzonico

Le ciel lourd et couvert ne nous est pas tombé sur la tête, mais il faut admettre de certains artistes ont travaillé fort afin de crever les nuages. Pour le chroniqueur, cette – plus courte – journée de couverture a été l’occasion de constater que l’on n’a pas besoin d’un « vaisseau spatial » pour satisfaire musicalement le festivalier…

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