Un artiste et son piano à la Maison symphonique. Telle était la mise en scène, vendredi soir, pour le retour de Brad Mehldau à Montréal, lors d’un concert du Festival international de jazz à l’année. Une mise en scène déjà vue et vécue à maintes reprises, notamment au Gesù en 2000, 2008 et 2011, ainsi qu’à cette même Maison symphonique, il y a deux ans.
Par Philippe Rezzonico
En toute franchise, un tel exercice sans filet s’avère d’ordinaire plus convaincant dans une salle intimiste comme le Gesù, plutôt que dans une IMMENSE salle comme la Maison symphonique, qui paraît encore plus vaste quand les spectateurs sont moins nombreux que lors d’une prestation durant le FIJM.