
Durant la première semaine d’activités du Festival international de jazz de Montréal, par trois fois, Stéphane Drolet, émérite représentant de Sony Music pour le Québec, m’a rappelé par courriel, texto et de vive voix : «Tu dois aller voir Gabi Hartmann, vendredi.»
Par Philippe Rezzonico
En plus de trois décennies de fréquentation, je n’ai pas vu souvent ce pilier de l’industrie musicale montréalaise se tromper, rayon jugement. Et, depuis le temps, il connaît mes goûts… Donc, vendredi, j’étais assis dans le toujours frigorifique Gesù dès 18 heures pour assister à la prestation de la Française aux racines multiples qui se produisait chez nous pour une troisième année de suite après La Casa del Popolo (2023) et le Studio TD (FIJM, 2024).
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