Le Royaume-Uni a donné naissance à son lot de chanteuses d’exception dans le 21è siècle et Joss Stone a été la première à donner le coup d’envoi d’un renouveau marqué au fer rouge par les Amy Winehouse, Adele et autres Duffy qui l’ont suivie.
Par Philippe Rezzonico
L’Anglaise sera de retour à Montréal le 5 juillet au Métropolis, et ce, pour une première fois lors du Festival international de jazz de Montréal. Au menu, les nouvelles chansons de son disque Water For Your Soul qui sortira deux semaines plus tard (17 juillet) et ses succès d’antan.
Je me souviens encore de son premier passage en circuit fermé (showcase), au défunt Cabaret Juste pour Rire, au début du siècle. Subjugué, étais-je, par la voix profonde et trempée dans la soul de la jeune chanteuse qui était encore adolescente.
Elle a ensuite multiplié les passages au Spectrum et au Métropolis, où elle est passée deux fois, en 2007 et 2012. Artiste en mouvance, Stone peut passer du rock au r&b et à la soul, selon les grooves et les enveloppes sonores.
Elle a ajouté au cours des ans des effluves de hip-hop et d’autres épices contemporaines à sa musique. Mais, en toute justice, c’est la voix de l’artiste qui chante toujours pieds nus qui remonte au-dessus de tout. On verra si c’est toujours le cas en juillet.
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