
Vincent Vallières a conquis son auditoire avec son spectacle intimiste Au coin de la rue. Photo d'archives. Courtoisie Pascal Ratthé.
C’était bien et c’était bon. C’était Vincent Vallières, quoi. Et puis, vers le milieu de son splendide spectacle intimiste présenté vendredi à L’Astral, son musicien et ami, André Papanicolaou, a tiré sa révérence le temps de quelques chansons. Et là, on a découvert un nouveau Vallières.
Par Philippe Rezzonico
Vigilant, le Vincent. Il avait déjà le public dans sa petite poche depuis l’interprétation de Le temps est long, arrivée très tôt dans la soirée, qui a permis aux spectateurs de battre la mesure de cette chanson irrésistible.
Il avait charmé les fans de musique en nappant son Café lézard d’un harmonica déchirant et d’une guitare électrique qui semblait sortie d’une trame sonore d’Ennio Morricone.