Four Tops et O’Jays : la soirée «notre moins un»

Eddie Levert et Eric Nolan Grant. Même sans un membre, le surnom « mighty» était tout à fait approprié. Photo Victor Diaz-Lamich/Courtoisie FIJM

Eddie Levert et Eric Nolan Grant. des O’Jays. Même sans un membre, le surnom « mighty» était tout à fait approprié. Photo Victor Diaz-Lamich/Courtoisie FIJM

Ma collègue Émilie Perreault, journaliste culturelle au 98,5 FM, présente occasionnellement à l’émission de Paul Arcand une critique d’un spectacle qu’elle a vu la veille avec un collègue ou une personnalité. Elle appelle ça, sa chronique « mon + 1 ».

Par Philippe Rezzonico

Hier, le programme double mettant en vedette les Four Tops et les O’Jays au Festival de jazz aurait pu se nommer « notre moins un », en ce sens que les deux groupes se sont présentés sur la scène de la salle Wilfrid-Pelletier privés d’un membre. Ce n’est pas drôle de vieillir, comme disait ma mère…

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