L’entrevue a eu lieu dans un café de l’avenue du Mont-Royal. Normal. Michel Rivard habite dans le coin. Sur le Plateau. Ou peut-être devrait-on dire qu’il habite de nouveau dans le coin, dans ce quartier où il s’est pointé il y a une quarantaine d’années avant de former un groupe nommé Beau Dommage qui a eu le succès que l’on sait.
Par Philippe Rezzonico
Cette image de retour aux sources est omniprésente sur le plus récent disque de Rivard et elle peut s’appliquer autant au Rivard/Beau Dommage qu’au Rivard/Flybin. Roi de rien, assure-t-il dans sa chanson-titre, comme pour annoncer la couleur. Roi serein, a-t-on le goût d’ajouter.