FIJM: les bons, la bête et le surdoué

Vincent Peirani et son groupe. Photo courtoisie FIJM/Alexanne Brisson

Vincent Peirani et son groupe. Photo courtoisie FIJM/Alexanne Brisson

Trois concerts, trois univers : c’est la beauté du Festival international de jazz de Montréal. Une fois installé dans une salle, tu échappes à la réalité afin de plonger dans le monde dicté par les artistes qui sont devant toi. À ça marche à tout coup. Récit sur deux soirs en trois temps.

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