Le temps, ce joujou chéri des scénaristes de science-fiction, est le fondement de X-Men : Days of Future Past, dernier-né de la franchise de Marvel qui, joli paradoxe, se veut à la fois une suite à la trilogie d’origine de la série cinématographique parue dans les années 2000 et à l’antépisode X-Men : First Class, lancé il y a deux ans. Fort, quand même.
Par Philippe Rezzonico
Ce concept du temps, le réalisateur Bryan Singer le maîtrise au point qu’il a réussi à ne pas faire déraper le scénario du diptyque le plus prisé de l’histoire de l’illustré américain, ce qui est une réussite en soi. Mais s’il avait ajouté juste un peu plus de ce précieux temps au compteur, il aurait transformé ce très bon épisode en chef-d’œuvre.