X-Men Days of Future Past : une affaire d’espace-temps

Magneto (Michael Fassbender) dans Days of Future Past. Photo de production.

Le temps, ce joujou chéri des scénaristes de science-fiction, est le fondement de X-Men : Days of Future Past, dernier-né de la franchise de Marvel qui, joli paradoxe, se veut à la fois une suite à la trilogie d’origine de la série cinématographique parue dans les années 2000 et à l’antépisode X-Men : First Class, lancé il y a deux ans. Fort, quand même.

Par Philippe Rezzonico

Ce concept du temps, le réalisateur Bryan Singer le maîtrise au point qu’il a réussi à ne pas faire déraper le scénario du diptyque le plus prisé de l’histoire de l’illustré américain, ce qui est une réussite en soi. Mais s’il avait ajouté juste un peu plus de ce précieux temps au compteur, il aurait transformé ce très bon épisode en chef-d’œuvre.

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La renaissance de la franchise des X-Men

X-Men : First Class situe l’action à l’époque où Charles Xavier (James McAvoy) et Erik Lehnsherr (Michael Fassbender) n’étaient pas encore respectivement le Professeur X et Magneto. Photo courtoisie

« À mes yeux, c’était évident qu’il y avait des adultes qui pouvaient être intéressés par nos histoires complexes, sans perdre pour autant nos lecteurs friands de gomme à mâcher ».

Par Philippe Rezzonico

La phrase est de Stan Lee, en introduction au chapitre portant sur les X-Men dans son bouquin Son of Origins (1975). Le réalisateur Matthew Vaughn l’a apprise par cœur avant de tourner X-Men : First Class. Retour en grâce pour la franchise après X-Men : The Last Stand et X-Men Origins – Wolverine.

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