Je l’admets, Duran Duran n’était pas mon groupe de chevet au début des années 1980. Les cinq beaux gosses étaient les favoris de mes amies dont la génération était bien représentée, lundi, au Centre Bell. Mais Duran Duran n’était qu’un boys band en apparence. Simon Le Bon, les trois Taylor et Nick Rhodes ont toujours été des artistes accomplis qui ne m’ont jamais déçu en spectacle.
Par Philippe Rezzonico
Quoique hier, je retournais en courant dans l’enceinte désertée par le Canadien pour une autre raison : la présence de Nile Rodgers et de sa bande de Chic avant Duran Duran, dans ce que j’anticipais comme était le meilleur amuse-gueule de l’année sur les planches.