Jack White sera à L’Olympia de Montréal le 2 octobre afin de présenter la tournée de son album Blunderbuss. Tout le monde est heureux. Que nous réserve-t-il hormis ses nouvelles compositions ? Un survol de toute sa carrière. Rien de moins.
Par Philippe Rezzonico
Jack, c’est bien sûr et avant tout The White Stripes. Mais c’est aussi The Raconteurs, son groupe conjoint avec Brendan Benson. Et plus récemment, The Dead Weather, band au sein duquel Jack s’efface à la batterie pour laisser le champ libre à Alison Mosshart. Hé bien, on va entendre tout ça.
On ne peut présumer avec certitude de ce que White va nous proposer le soir du 2 octobre à L’Olympia (Billets en vente le vendredi 17 août à midi aux points de vente habituels), mais en scrutant les setlists de ses spectacles présentés plus tôt cette année, on réalise que l’on va se régaler.
Vous voulez des chansons des White Stripes ? Dead Leaves and the Dirty Ground, Black Math, Hotel Yorba, Screwdriver, I’m Slowly Turning Into You, The Same Boy You Always Known, The Hardest Button To Button, Ball and Biscuit , Hell Catch Blues et Seven Nation Army ont toutes été livrées depuis le printemps, quand Jack a commencé à donner des spectacles dans de petites salles.
Il y a déjà cinq chansons dans cette liste qui justifient l’achat du billet. Mais attention, elles ne sont pas jouées tous les soirs. Jack fait de la rotation.
Vous aimez The Raconteurs parce que vous souvenez de ce moment débile quand Jack et Brendan ont livré des solos de guitare la tête appuyée dans les haut-parleurs du Métropolis en septembre 2006? Top Yourself et Steady As She Goes ont été interprétées cette année.
Vous aviez adoré The Dead Weather quand le groupe a fait surchauffer L’Olympia à l’été 2009 ? Blue Blood Blues et I Cut Like a Buffalo pourraient être de la sélection.
Et il y a, selon l’humeur du guitariste, des reprises de classiques de Lead Belly, Hank Williams ou Little Willie John.
Rendez-vous obligatoire.