Catherine Durand: bonjour tristesse

Photo courtoisie Spectra/Claudine Sauvé

La pochette, dont le blanc blafard rappelle les immensités nordiques, annonce la couleur, si l’on peut dire. Le titre de l’album nous situe d’emblée de la même façon.  Avant même d’écouter une seule note on sait que ce cinquième album de Catherine Durand nous mènera ailleurs. Et comme on aime Catherine, on entreprend le voyage avec plaisir.

Par Philippe Rezzonico

Il reste bien une trace du passé avec la présence de la guitare dans la main de l’auteur-compositrice et interprète sur cette même pochette. Et cette guitare se fait entendre à profusion durant les chansons gravées sur le compact Les murs blancs du Nord. Mais elle est moins dominante dans la proposition sonore qu’elle ne l’était pour les albums Diaporama et Cœurs migratoires, par exemple.

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