FIJM: Rufus Wainwright, le roi de la ville

Rufus: rouge et intense. Photo courtoisie FIJM/Jean-François Leblanc.

Après s’être trémoussé sur Bitter Tears qui concluait une heure et demie de prestation sur la Place des festivals, Rufus Wainwright est revenu prendre place à son piano et a lancé que les gens de Montréal méritaient bien « ça ». « Ça », c’était Hallelujah, qui ne pouvait être une meilleure conclusion pour le couronnement du nouveau roi de la ville.

Par Philippe Rezzonico

Dans des conditions climatiques idéales, avec une sono impeccable – du moins, du côté gauche de la Place des festivals où nous nous trouvions -, Rufus aura affiché la superbe qu’on lui connaît face à un public qui ne connaissait pas tout de lui. C’est terminé. L’enfant chéri de Montréal aura fait corps et âme avec le plus imposant public à s’être déplacé pour le voir de toute sa carrière.

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