La dernière fois que Marie Denise Pelletier a fait une rentrée montréalaise avec de nouvelles compositions originales, nous étions dans un univers sans Twitter, sans traumatisme post-911 et sans gouvernement conservateur majoritaire. C’était dans l’autre siècle. Mercredi, elle nous présentera ses plus récents titres à L’Astral et elle piaffe déjà d’impatience. Normal. La scène, c’est son refuge.
Par Philippe Rezzonico
Dire que Marie Denise Pelletier a hâte à sa rentrée offerte dans le cadre du festival Montréal en lumière tient de l’euphémisme. On perçoit dans le timbre de sa voix toute l’excitation du moment, comme si elle était une jeune débutante.