Il y a belle lurette que je vais voir ce qu’on désigne comme étant des shows « nostalgie », à savoir, des artistes ou groupes qui ont amorcé leur carrière à mon adolescence ou bien avant. Mais cela fait aussi un certain temps que je vais voir des spectacles estampillés « nostalgie » par la génération qui me suit.
Par Philippe Rezzonico
C’était le cas, dimanche, au Métropolis, où la frange du public comprise entre la fin trentaine et la mi quarantaine venait voir l’un de ses héros de jeunesse, le groupe américain Soundgarden. Pour moi, Soundgarden, ce n’est pas un trip de nostalgie.