The Kills : les deux font la paire… explosive

Jamie Hince et Alison Mosshart/The KillsTV

Jamie Hince et Alison Mosshart/The KillsTV

Elle, c’est l’Américaine Alison Mosshart, qui est aussi, occasionnellement, la voix du groupe The Dead Weather, fondé par Jack White. Lui, c’est l’Anglais Jamie Hince. Ensemble, ils forment le duo The Kills, dont le plus récent disque Ash & Ice, a vu le jour au mois de juin.

Par Philippe Rezzonico

Et comme on l’a vu mercredi soir au Métropolis, quinze ans après leur formation, Mosshart et Hince font encore la paire : duo fusionnel, complémentarité exemplaire et complicité totale.

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Géants, ces jeunes

young-the-giantEn cette ère jetable de la musique où une certaine frange de l’industrie tente de survivre, il est toujours franchement intéressant de voir des jeunes groupes nés au 21è siècle attirer avec constance un public fidèle à chacun de leurs passages sur nos terres.

Par Philippe Rezzonico

C’est le cas des Californiens de Young The Giant, que l’on a pu applaudir au festival Osheaga il y a deux ans où dans ce même Métropolis, il y a quelques années, où ils offraient leur prestation, mardi soir.

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La profondeur du Festival international de jazz de Montréal

Le Preservation Hall Jazz Band/Photo courtoisie

Le Preservation Hall Jazz Band/Photo courtoisie

Melody Gardot en ouverture et le Preservation Hall Jazz Band en clôture, le trompettiste Christian Scott pour la première série Invitation et le pianiste Kenny Baron pour la seconde. Rufus Wainwright et Emilie-Claire Barlow en mode symphonique, Lauryn Hill, Trombone Shorty et  le Sugarhill Gang pour mettre le feu.

Par Philippe Rezzonico

Entre ces extrêmes, des tas de concerts de jazz avec Steve Coleman, Larry Coryell et Éric Truffaz, la célébration des 75 ans de Blue Note,  des duos féminins tels Karen Young et Coral Egan, les sœurs Wainwright (Martha et Lucy) ainsi que les concerts d’adieu de Guy Nadon et Oliver Jones.

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Half Moon Run: quatre garçons dans le vent

Half Moon RunDésignons ça comme étant des conditions gagnantes : le premier de quatre spectacles de Half Moon Run à guichets fermés dans la métropole, environ six mois après la parution de Sun Leads Me On, deuxième opus adopté d’entrée de jeu par les amateurs du groupé formé à Montréal. Et nous étions un vendredi soir….

Par Philippe Rezzonico

En dépit de tous ces éléments qui avantageaient le groupe, encore fallait-il livrer un spectacle à la hauteur des attentes. Et sur cet aspect, Half Moon Run n’a pas raté son retour au bercail.

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Le retour de Joss Stone

Joss Stone/Facebook Joss Stone/Harry Stoker

Le Royaume-Uni a donné naissance à son lot de chanteuses d’exception dans le 21è siècle et Joss Stone a été la première à donner le coup d’envoi d’un renouveau marqué au fer rouge par les Amy Winehouse, Adele et autres Duffy qui l’ont suivie.

Par Philippe Rezzonico

L’Anglaise sera de retour à Montréal le 5 juillet au Métropolis, et ce, pour une première fois lors du Festival international de jazz de Montréal. Au menu, les nouvelles chansons de son disque Water For Your Soul qui sortira deux semaines plus tard (17 juillet) et ses succès d’antan.

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Soundgarden : toujours le mur de son

Thayil, Cameron (remplacé hier par Chamberlain), Cornell et Shepherd. Photo promotionnelle.

Il y a belle lurette que je vais voir ce qu’on désigne comme étant des shows « nostalgie », à savoir, des artistes ou groupes qui ont amorcé leur carrière à mon adolescence ou bien avant. Mais cela fait aussi un certain temps que je vais voir des spectacles estampillés « nostalgie » par la génération qui me suit.

Par Philippe Rezzonico

C’était le cas, dimanche, au Métropolis, où la frange du public comprise entre la fin trentaine et la mi quarantaine venait voir l’un de ses héros de jeunesse, le groupe américain Soundgarden. Pour moi, Soundgarden, ce n’est pas un trip de nostalgie.

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Snoop au 35e Festival de jazz de Montréal

Snoop.... Enfin, celui-là sera au FIJM le 4 juillet/Photo courtoisie FIJM

Comme s’il n’y avait pas déjà assez d’artistes au 35e Festival international de jazz de Montréal, voilà que Snoop Dogg rapplique au Métropolis, rien de moins que le jour de l’Indépendance des États-Unis d’Amérique, le 4 juillet.

Par Philippe Rezzonico

Au fait? Snoop Dogg ou Snoop Lion? Franchement, on s’en fiche. C’est comme pour Price ou n’importe laquelle des autres appellations qui ont servi à le désigner un jour où l’autre.

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Montréal en lumière : Thomas Fersen, bon show, trop grande salle

Thomas Fersen au Métropolis. Photo courtoisie Montréal en lumière/Frédérique Ménard-Aubin.

David Marin, à L’Astral, Nicola Ciccone, à la salle Pierre-Mercure, Basia Bulat au Club Soda, Sylvie Paquette, au Lion d’Or… C’est la rançon des festivals de qualité. Certains soirs, tu voudrais pouvoir te téléporter d’une salle à l’autre tellement les affiches sont alléchantes. Mais ce n’est pas suffisant quand tous ces spectacles sont prévus à la même heure.

Par Philippe Rezzonico

Comme il faut trancher dans la vie, mon gagnant de jeudi soir au festival Montréal en lumière fut… Thomas Fersen, au Métropolis. Fersen qui célèbre ces jours-ci vingt années d’assiduité sur nos terres. Ce n’est pas rien. Et l’assiduité, c’est comme la fidélité. C’est donnant-donnant. Pas question de faire impasse, donc.

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Montréal en lumière: Thomas Fersen, le nouveau clip

Si vous n’avez pas encore votre billet pour le spectacle de Thomas Fersen prévu, jeudi soir, au Métropolis, lors du Festival Montréal en lumière, nous vous conseillons de bien visionner ce clip

Par Philippe Rezzonico

Mais oui Mesdames, tirée de l’album Thomas Fersen & The Ginger Incident, résume bien l’esprit du plus récent disque du Français et annonce une soirée pas piquée des vers.

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Vincent Vallières: fabriquer l’aube… et le reste

Vincent Vallières. Photo courtoisie Audiogram/Jocelyn Riendeau

Vincent Vallières l’ai dit maintes fois. Il se considère comme un artisan de la chanson francophone qui aspire à voir son œuvre toucher les gens au quotidien. À quelques jours de sa rentrée montréalaise au Métropolis, force est de constater que plus que jamais, les nouvelles chansons de Vallières sont l’extension de l’un des auteurs-compositeurs et interprètes les plus doués de sa génération.

Par Philippe Rezzonico

Avant même la première écoute de Fabriquer l’aube, on savait que Vallières allait nous proposer un équilibre entre les constats collectifs, les chansons personnelles et les ouvrages chansonniers engagés. Il suffisait de lire les titres de l’album.

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