Francos 2015: Pierre Lapointe, exceptionnel… déjà-vu

Pierre Lapointe seul au piano. La maîtrise. Photo courtoisie FF/Victor Diaz Lamich

Il y a une dizaine d’années, Pierre Lapointe avait figé – mais vraiment figé – devant ses ivoires, lors d’un rappel, au point qu’il avait dû quitter la scène sans compléter sa chanson. Révolue, cette époque où le jeune artiste faisait preuve d’insécurité face à la perspective de livrer une interprétation sans filet, seul au piano.

Par Philippe Rezzonico

Jeudi soir à la Maison symphonique, le premier de deux spectacles de Paris tristesse (né en France) aux FrancoFolies de Montréal a montré un Pierre Lapointe trentenaire au sommet de son art. Tant dans la qualité de son jeu, que celle de ses interprétations. La totale.

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