L’exclamation toute personnelle est survenue durant la bien nommée The Voice : Quelle voix !, cette Ane Brun, me disais-je, samedi soir, dans un Petit campus où les spectateurs étaient suspendus aux lèvres de la Norvégienne de passage sur nos terres.
Par Philippe Rezzonico
C’est une chose de faire un constat à l’écoute d’un disque. C’en est une autre de mesurer le même talent une fois que l’artiste se trouve sur une scène sans aucun paravent. Sans filet de sécurité. Et Ane Brun (prononcez brou-ne) n’a pas peur de plonger dans le vide.