À son entrée sur la scène de la salle Ludger-Duvernay du Monument National, mercredi, le pianiste Vijay Iyer, grâces lui en soient faites, ne nous a pas souhaité une bonne Canada Day, mais a plutôt fort bien résumé la quintessence du jazz.
Par François Vézina
« (Ce soir), vous entendrez des nouvelles pièces, vous entendrez des anciennes pièces, vous entendrez des choses que nous n’avons jamais encore entendues », a-t-il lancé aux spectateurs.
Il aurait aussi pu nous prévenir, Maître Iyer: ce soir, vous entendrez des choses belles, aventureuses, inouïes… La modestie, sans doute.