Si on regarde uniquement le chiffre absolu des ventes des disques au Royaume-Uni pour l’année 2011, on note qu’il y a baisse, comme c’est le cas depuis 2004. Rien de nouveau. Mais en y regardant de plus près, plusieurs indicateurs sont – presque – encourageants.
Par Philippe Rezzonico
Baisse globale de 5, 6 pour cent des ventes de disques – tous formats confondus – sur le territoire du Royaume-Uni a annoncé, mardi, la BPI (British Recorded Music Industry). D’emblée, on a presque le goût de dire : « Si peu ? »