Anecdote: quand j’ai écouté pour la première fois la copie promotionnelle de Thomas Fersen & the Ginger Accident, j’ai fait rejouer en boucle les deux premières chansons (Donne-moi un petit baiser, Mais oui Mesdames) trois ou quatre fois avant de passer au troisième titre. Séduit d’emblée, dites-vous?
Par Philippe Rezzonico
Au-delà de l’explosion pop, des descentes de cordes et des mélodies imparables, j’avais surtout l’impression de retrouver le Fersen qui m’avait charmé il y a deux décennies avec ses chansons ludiques.