Comme je me plais à le dire presque chaque année depuis ma première couverture du Festival international de jazz de Montréal en 1997, le festival achève…. et nous aussi.
Par Philippe Rezzonico
Pourtant, la soirée de samedi soir fut tout sauf une virée minimaliste. C’est ça, la beauté des festivals. On ne sait jamais ce qui va se produire, ni où on va s’arrêter.