Les Cowboys à L’Olympia, acte 2: en Français dans le show

Les Cowboys à L'Olympia: fougue, énergie et foule survoltée. Photo Étienne Chaput.

PARIS – « Une autre ! Une autre ! Une autre ! » Cette façon tout à fait française de demander des rappels est un classique en son genre. Et d’entendre le public parisien hurler sa joie aux Coboy fringants lundi soir, était l’une des nombreuses variantes en regard des spectacles vus au Québec au cours des ans.

Par Philippe Rezzonico

En passant, il n’y a pas de coquille dans le premier paragraphe : Coboy, c’est voulu. Les Français ne prononcent pas Cowboys (Kaw-boys) à l’anglaise, mais bien à la française (Co-boy). Cela noté, à ceux qui doutent encore que la bande de québécois n’est qu’un phénomène de curiosité en Europe, on vous confirme que le doute n’est pas permis.

Lire la suite

… et les Cowboys fringants vus par les Cousins

Cousins et Cowboys ensemble à Bruxelles, lors du cinquième anniversaire de l'Association. Bruno Cadoret prend place devant Karl Tremblay. Photo Courtoisie.

PARIS – Cela a commencé par un attrait culturel, un intérêt musical, une admiration réelle, voire, un coup de foudre. Huit ans après sa création, l’Association des Cousins fringants se paie la traite ces jours-ci avec la présence des Cowboys en sol européen.

Par Philippe Rezzonico

De Lille à Bruxelles, tout en passant par Nantes, Paris et Genève, les Cousins sont aux premières loges des spectacles du groupe québécois. Bruno Cadoret est l’un des fondateurs des Cousins fringants. Si l’occasion est belle de se remémorer comment la relation entre les Cowboys et les Cousins a pris naissance, c’est également le moment de voir les choses du point de vue des fans. Revers actualisé de la médaille.

Lire la suite