Il y a quelques certitudes dans la vie comme la saison des REER et la présence de verglas sur les trottoirs à Montréal. Du nombre, la plus sympathique est clairement cette capacité d’Ariane Moffatt à franchir avec succès l’épreuve de la scène avec n’importe lequel de ses disques.
Par Philippe Rezzonico
En deux décennies, les albums d’Ariane Moffatt n’ont certes pas tous présenté la même facture sonore. Le plus récent (Petites mains précieuses) paru l’an dernier, plus intimiste, ne semblait pas d’emblée taillé sur mesure pour une rentrée montréalaise au MTelus.