
Yann Perreau, Vincent Vallières (à gauche) et Karim Ouellet (au fond) portés par la foule. Photo Victor Diaz Lamich/Courtoisie FrancoFolies de Montréal
Je ne sais trop comment mes éminents collègues dressent leurs listes de spectacles favoris de l’année, mais je procède ainsi : je couche de mémoire ceux qui me passent par la tête (j’arrive facilement à une vingtaine de spectacles), je consulte mes archives (j’en rajoute une dizaine d’autres) et puis, je tranche selon divers critères, dont un essentiel : quels sont ceux qui m’ont fait vibrer le plus?
Par Philippe Rezzonico
Le procédé n’a pas été différent cette année. Sauf qu’au moment de terminer l’exercice 2013 pour les spectacles francophones après la cuvée anglophone et les spectacles inespérés, une constatation effarante s’impose. Pas tant en raison des prestations qui s’y trouvent, mais plutôt à cause de celles qui ne s’y trouvent pas…