Les spectacles et festivals attirant des dizaines de milliers de spectateurs ont tellement monopolisé l’attention à Montréal en 2011 qu’on pourrait presque oublier les autres. Faut pas. Il y a eu des moments inestimables de musique vécus sans que 20, 40 ou 80, 000 personnes soient à nos côtés.
Par Philippe Rezzonico
Des jeunes, des moins jeunes, des vétérans et mêmes des vieux (ce n’est pas péjoratif, vous verrez) ont retenu notre attention, peu importe leur genre musical de prédilection.