Il y a plusieurs façons de couvrir un festival de l’envergure de celui d’Osheaga. Mais comme cela fait – déjà – trois semaines que le Festival de jazz est terminé, il y avait comme un manque dans le sang du journaliste. La musique crée une dépendance, vous savez. Donc, l’approche boulimique a été privilégiée.
Par Philippe Rezzonico
Approche boulimique, comme dans « combien de spectacles peut-on voir dans une journée presque complète ? ». Si j’ai bien compté, j’ai dû voir 11 prestations complètes, partielles ou sommaires, vendredi. Suivez le guide.