De son appartement de Londres, Stacey Kent s’exprime dans un français à faire honte aux anglophones unilingues de Montréal et à certains francophones de souche dont le français est plus que bancal. Et ce n’est pas la seule langue autre que l’anglais que l’Américain maîtrise.
Par Philippe Rezzonico
Polyglotte, Stacey Kent tire parti de sa connaissance des langues pour chanter aux quatre coins du monde. Chanter, mais aussi, pour raconter des histoires.