Debout, face au public de La Tulipe suspendu à ses lèvres, Ingrid St-Pierre achève L’éloge des dernières fois avec la douceur et la sensibilité qui la caractérisent, uniquement accompagnée des notes cristallines de la harpe d’Éveline Grégoire-Rousseau.
Par Philippe Rezzonico
Elle boucle ainsi la rentrée montréalaise de son album Tokyo qui n’est rien d’autre qu’une autre tranche de la vie de cette artiste qui maîtrise si bien – et déjà, pourrais-je ajouter – la notion de devoir de mémoire au plan personnel.