Du Métropolis au Stade de France, en passant par les plaines d’Abraham ou le Zénith de Paris, un constat demeure : quand Indochine met le pied au plancher, le groupe français provoque un incendie et une onde de choc qui rivalisent avec n’importe quel groupe anglo-saxon.
Par Philippe Rezzonico
Nous avons encore pu le vérifier vendredi soir quand la bande à Nicola Sirkis a mis les pieds pour la toute première fois dans un Centre Bell qui a semblé bien grand, durant quelques minutes. Mais comme d’habitude, la bande à Nico l’a royalement emporté à l’usure.