The Dark Knight Rises : la fin d’une trilogie qui aura fait époque

Christian Bale porte le masque et la cape pour la finale de la trilogie. Photo promotionnelle Warner Bros./Legendary Pictures.

Dense, intense, complexe, explosif et pas loin d’être grandiose par moments, The Dark Knight Rises (L’ascension du Chevalier noir) boucle avec panache la trilogie de Christopher Nolan portant sur le gardien légendaire de Gotham City dans ce qu’il conviendra de désigner comme la meilleure adaptation d’un illustré de super-héros au cinéma. Et quelque chose nous dit que si Nolan en était à son dernier tour de piste en qualité de réalisateur, ce n’est pas le cas de la franchise.

Par Philippe Rezzonico

Ce dernier épisode de la renaissance de la chauve-souris personnifiée par Christian Bale se distingue une fois de plus par la vision du réalisateur qui a voulu depuis Batman Begins (Batman : le commencement) que son univers soit sombre et adulte, comme la vraie vie et les tragédies peuvent l’être.

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Tsunami automnal dans le marché de l'illustré américain

Batman, Flash, Green Lantern, The Martian Manhunter, Aquaman, Wonder Woman et Superman ne sont plus tout à fait les mêmes dans l'univers redessiné de DC Comics.

Histoire de secouer une industrie presque aussi malmenée que celle de la musique, DC Comics a osé pour la rentrée le plus audacieux coup de poker jamais vu : relancer toutes ses séries d’illustrés au numéro # 1. Effet immédiat. Reste à savoir s’il sera durable.

Par Philippe Rezzonico

Il y a une certaine ironie. Alors que le cinéma hollywoodien fait régulièrement appel aux super héros costumés pour s’offrir des franchises rentables comme Spider-Man, Batman et les X-Men qui engrangent des centaines de millions de dollars au box-office, le médium qui a vu naître les personnages bat de l’aile.

C’est la raison pour laquelle DC Comics, propriété de la multinationale Warner Bros., a provoqué un tremblement de terre le 31 août en remettant le compteur au numéro # 1 pour 52 de ses titres.

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