
Paul McCartney aura démontré que la Beatlemania peut encore exister, près de 40 ans après sa naissance. Photo courtoisie evenko-Pat Beaudry
Ce fut un constat d’une durée de près 24 heures. Mesuré et puis vérifié. Quelque part entre la livraison explosive de All My Loving, mardi, tôt en début de programme, et le bombardement atomique de I Saw Her Standing There, hier soir, au terme du premier rappel : le passé n’est pas mort. Même au XXIe siècle dans le Centre Bell, on peut vivre la Beatlemania, cuvée 2011.
Par Philippe Rezzonico
Bien sûr, les quatre garçons dans le vent ne sont plus depuis quatre décennies et deux d’entre eux nous ont quittés à jamais. Qu’à cela ne tienne, Paul McCartney est capable de recréer tout cela à lui tout seul, empruntant à son catalogue beatlesque et à celui de ses copains.