Comme des tas de groupes punk, Simple Plan devait durer le temps de deux ou trois disques. Treize ans après leur formation, une décennie après leur premier album et des millions de disques écoulés de par le monde depuis lors, le groupe est plus populaire et rassembleur que jamais comme on l’a constaté, jeudi, au Centre Bell.
Par Philippe Rezzonico
Pourquoi ? S’il fallait tenter de trouver une raison au succès mondial du groupe francophone qui a décidé de faire carrière en anglais, c’est au parterre et dans les gradins qui accueillaient près de 12, 000 spectateurs que l’on trouverait l’explication.