Je me suis dirigé avec une infime réticence vers la salle Wilfrid-Pelletier, mercredi soir, pour assister au spectacle de Beck, présenté en préouverture du 35e Festival international de jazz de Montréal. Pourquoi infime, moi qui adore Beck? Parce que je n’étais pas convaincu que mon état d’esprit allait de pair avec les plus récentes chansons de Morning Phase.
Par Philippe Rezzonico
D’autant plus que l’ex-cep-tion-nel show de Beck offert l’été dernier au Festival Osheaga était encore bien frais à ma mémoire. Finalement, je n’avais rien à craindre… Qu’il offre du vieux Beck, du nouveau Beck ou de l’inattendu, Beck Hansen nous amène toujours où il le veut et nous mangeons tous dans sa main.