
Paul McCartney, ici, au Centre Bell en 2011, arrive toujours à satisfaire le grand public et ses fans de longue date. Photo d'archives/Courtoisie evenko/Pat Beaudry
Quand tu fais le boulot de journaliste/critique/blogueur culturel spécialisé en musique depuis près de trois décennies, tu vois forcément sur scène les artistes d’ici et d’ailleurs plus souvent que bien des amateurs de ces vedettes. Cela comporte à la fois un risque et un plaisir non négligeable.
Le risque, c’est que passé un certain âge, l’artiste en question ne soit plus qu’une pâle imitation de son passé. Rien à craindre avec Paul McCartney, comme il l’a démontré mardi soir sur les plaines d’Abraham à Québec.