King Crimson : le triomphe absolu

Tony Levin et Robert Fripp en photographes amateurs au terme du triomphal concert de King Crimson. Photo Frédérique Ménard-Aubin/Courtoisie FIJM

Tony Levin et Robert Fripp en photographes amateurs au terme du triomphal concert de King Crimson. Photo Frédérique Ménard-Aubin/Courtoisie FIJM

On peut débattre jusqu’à demain matin, mais il est difficile de penser qu’un groupe dont les racines remontent au tournant des années 1960-1970 puise être aussi pertinent, musicalement parlant, que King Crimson l’a été lundi soir, à la salle Wilfrid-Pelletier.

Par Philippe Rezzonico

On sait que la formation actuelle regorge de musiciens chevronnés, mais encore faut-il livrer la marchandise. Ce que l’on a entendu était probablement au-delà des attentes les plus folles de n’importe quel amateur de longue date du groupe, ce qui, dans les faits, représentait le profil du festivalier qui s’était déplacé pour assister à cette soirée au Festival de jazz.

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King Crimson : ode à la musique et à la liberté

King Crimson: une formidable machine musicale doublée d'une cohésion exceptionnelle

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Près de 2000 personnes se sont pointées au théâtre St-Denis, lundi soir, au premier de deux spectacles de King Crimson à Montréal. Pas beaucoup plus de spectateurs, finalement, que ceux qui se sont présentés au Bataclan, vendredi soir à Paris.

Par Philippe Rezzonico

Le collectif à géométrie variable de Robert Fripp présent à Montréal et le groupe américain Eagles of Death Metal qui était en tête d’affiche au Bataclan ont peu en commun, musicalement parlant. Et leur public moyen provient de générations distinctes. Mais les milliers de spectateurs présents dans les deux salles séparées de quelque 6000 kilomètres partagent des valeurs universelles liées à la musique.

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