D’ordinaire, quand un artiste comme McCartney ou un groupe comme le E Street Band offre un concert de plus de trente chansons de tout près de trois heures, les spectateurs sortent de l’aréna repus et ravis. Il n’y a pas eu cette unanimité, mardi, quand les gens ont quitté le Centre Bell après le spectacle de The Cure.
Par Philippe Rezzonico
Après plus d’une heure, un ami notait sur mon profil Facebook qu’il avait hâte aux chansons de la période 1980-1984. Après le spectacle, un de mes frères de sang m’appelé pour me dire que Robert Smith n’avait pas besoin de passer la deuxième heure du show à s’assurer que nous allions tous demeurer assis sur nos sièges. Et une autre amie qui était déçue. Et j’en passe. Voyons ça de plus près.