On a beaucoup parlé de français cette année. Parfois, de l’absence de… De sa mise à mal, de sa difficulté de s’imposer en milieu de travail, de son affichage et de son non respect par des radios (montages anglophones) et par un club de hockey qui embauche un entraîneur unilingue. Heureusement, il nous reste la musique.
Par Philippe Rezzonico
Et de la bonne musique francophone, il y en a. J’admets que je me tiens assez loin de celle qui est trop formatée à mon goût pour les ondes radiophoniques – comme pour l’anglophone, d’ailleurs – , mais il en reste encore à satiété pour ceux qui aiment savourer cette langue en mode vocal.