
James Blunt n'a fait qu'un avec ses fans au Centre Bell. Comme à la PdA en avril. Photo d'archives. Courtoisie Catherine Lefebvre.
Fascinant, quand même. La plupart des artistes qui passent d’un club à un aréna se cassent la tête pour bonifier leur performance : approche scénique modifiée, ajout ou retrait de chansons pour décupler l’impact. Costumes de scène recherchés. Ajouts de choristes. Effets spéciaux. Pas James Blunt. Pas besoin.
Par Philippe Rezzonico
Si vous étiez à la salle Wilfrid-Pelletier en avril dernier – pour le premier spectacle de la tournée nord-américaine du Britannique -, ainsi qu’au Centre Bell, mardi, pour le retour de Blunt, vous avez vu la même prestation. Je pourrais pratiquement réécrire le texte du printemps. Je plaisante ? Voyez voir…