FIJM: la soirée de blues que j’ai failli ne jamais voir

Charlie Musselwhite et ses musiciens Photo Frédérique Ménard-Aubin/Courtoisie FIJM

Charlie Musselwhite et ses musiciens Photo Frédérique Ménard-Aubin/Courtoisie FIJM

Depuis des années, le Festival international de jazz nous offre des programme double ou triple de blues qui ont de quoi rassasier les plus exigeants amateurs du genre.

Par Philippe Rezzonico

Cette année, l’affiche de vendredi soir proposait Buddy Guy, Charlie Musselwhite, ainsi que Steve Hill et Matt Andersen en duo. Compte-rendu.

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Steve Hill: de guitar hero à homme-orchestre

Steve Hill/Photo promotionnelle

Steve Hill/Photo promotionnelle

Quiconque qui l’a vu sur une scène dès le milieu des années 1990 l’a su d’emblée : Steve Hill est un as de la guitare. Un roi du manche. Un guitar hero, comme disent les anglos. Mais le plus stupéfiant talent n’est pas un gage absolu de succès dans le monde parfois ingrat de la musique.

Par Philippe Rezzonico

Dans le contexte mondial actuel, on pourrait dire que c’est toujours d’actualité, mais pour Steve Hill, les années de labeur acharné ont finalement rapporté des dividendes. Quand tu t’apprêtes à faire les rentrées québécoises et montréalaises du énième tome d’une série d’albums, ça ne trompe pas.

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Il joue de la guitare…comme un dieu

Steve Hill et ses musiciens ont mis L'Astral sans dessus dessous, jeudi soir. Photo courtoisie.

Rock, Rock n’ Roll, hard rock, heavy rock, blues rock, boogie, shuffle… Peu importe. Quand vient le temps de transcender les genres pour lesquels la guitare demeure l’instrument de prédilection, Steve Hill demeure le « guitar hero » québécois de sa génération.

Par Philippe Rezzonico

L’exceptionnel guitariste a montré toutes les facettes de son jeu, jeudi, quand il est venu présenter les chansons de son plus récent compact, Whiplash Love, à L’Astral.

Comme je n’avais pas encore écouté ledit disque, je me suis dit pendant un instant qu’on allait avoir droit à un show plus modéré que d’ordinaire. L’ami Steve a tellement évolué depuis son premier disque que c’était bien possible. Blues pour Steve Hill, presque rockabilly pour Call it What You Will, très lourd pour Devil at My Heels, etc. Mais cette fois, c’est tout simplement la configuration tables et chaises qui m’a induit en erreur.

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