Steve Hill et ses musiciens ont mis L'Astral sans dessus dessous, jeudi soir. Photo courtoisie.
Rock, Rock n’ Roll, hard rock, heavy rock, blues rock, boogie, shuffle… Peu importe. Quand vient le temps de transcender les genres pour lesquels la guitare demeure l’instrument de prédilection, Steve Hill demeure le « guitar hero » québécois de sa génération.
Par Philippe Rezzonico
L’exceptionnel guitariste a montré toutes les facettes de son jeu, jeudi, quand il est venu présenter les chansons de son plus récent compact, Whiplash Love, à L’Astral.
Comme je n’avais pas encore écouté ledit disque, je me suis dit pendant un instant qu’on allait avoir droit à un show plus modéré que d’ordinaire. L’ami Steve a tellement évolué depuis son premier disque que c’était bien possible. Blues pour Steve Hill, presque rockabilly pour Call it What You Will, très lourd pour Devil at My Heels, etc. Mais cette fois, c’est tout simplement la configuration tables et chaises qui m’a induit en erreur.
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