Garland Jeffreys : Wild au Club Soda

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Garland Jeffreys est un artiste dont une partie de l’univers musical est liée à la rue et aux gens qui y vivent. Pas pour rien qu’il réside à New York et qu’il a écrit un hymne comme Wild In the Streets. En spectacle, c’est le parterre qui devient sa rue. Wild, le Garland. Wild au parterre !

Par Philippe Rezzonico

Franchement, j’ai cessé de compter. En excluant les quatre chansons offertes en acoustique durant lesquelles il était assis, Jeffreys a bien dû quitter la scène et descendre au parterre du Club Soda pour la moitié des 16 autres titres interprétés dimanche devant cette foule rassasiée au possible au terme de deux heures de performance.

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Garland Jeffreys : conscience sociale et musicale

Garland Jeffreys sera de retour à Montréal pour la première fois depuis une prestation extérieure au FIJM en 2004. Photo courtoisie Danny Clinch.

Il y a 20 ans, Garland Jeffreys s’investissait à fond dans un album fabuleux qui dénonçait le racisme, Don’t Call Me Buckwheat. Aujourd’hui, il prend la part des marginaux, parle de la vie au quotidien et de la mort en embuscade avec son plus récent disque, The King of In Between, qu’il viendra nous présenter sur la scène du Club Soda dimanche prochain. Autres temps, autres combats, même artiste socialement engagé et déterminé.

Par Philippe Rezzonico

Si la photo qui orne la pochette de Jeffreys évoque le passé avec le panneau indicateur des boulevards Dr. Martin Luther King Jr. et Malcolm X, celle au verso montre l’esplanade de Coney Island. Mais pas le Coney Island qui attire des milliers de new-yorkais sous le soleil estival, après un périple de 22 escales de transport en commun.

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