Cœur de pirate : la petite ira loin

Radieuse, nerveuse, heureuse et émue, Coeur de pirate a passé son baptême de feu au Métropolis. Photo courtoisie Montréal en lumière/Frédérique Ménard-Aubin.

Durer. C’est le désir de tout artiste. Impossible, toutefois, de savoir si l’on peut espérer la longévité avant la parution d’un deuxième album, même si le premier t’a révélé sur la scène internationale. En fait, surtout si le premier a obtenu un succès monstre… Après avoir assisté à la rentrée montréalaise de l’album Blonde, vendredi, au Métropolis, le verdict est limpide : Cœur de pirate est là pour rester.

Par Philippe Rezzonico

Dieu, que l’on était loin de cette présence en première partie de Benjamin Biolay dans le cadre des FrancoFolies il y a quatre ans, et même, du spectacle présenté à L’Astral, en 2009. Au plan vocal, à la diction, à la composition musicale et à la présence scénique, Béatrice Martin ne cesse de s’affiner, et ce, même dans des contextes de pression considérable.

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Coeur de Pirate: Jusqu’au bout de l’horizon

Photo courtoisie Montréal en lumière

NOTE: Publiée initialement sur Rue Rezzonico le 24 janvier, nous trouvons pertinent de remettre en lumière – comme le festival du même nom – cette entrevue avec Coeur de Pirate, à 24 heures de sa rentrée montréalaise.

Pour n’importe quel artiste ayant obtenu un succès phénoménal avec un premier disque, rien de plus dangereux que le second. La page blanche, la pression du milieu, le verdict implacable des ventes, les attentes démesurées : tout peut se transformer en guigne du deuxième album. Pas pour Cœur de pirate.

Par Philippe Rezzonico

Deux mois après la parution de Blonde et quatre semaines avant sa rentrée montréalaise au festival Montréal en lumière, le succès est déjà confirmé. Une question demeure : jusqu’où peut-elle aller ? La réponse tient peut-être dans le titre de la première chanson de son album, Lève les voiles : Jusqu’au bout de l’horizon.

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Cœur de pirate : toutes voiles dehors pour la nouvelle année

Coeur de pirate sera au Métropolis, le 24 février, dans le cadre du festival Montréal en lumière. Photo d'archives. Courtoisie Pascal Ratthé.

Pour n’importe quel artiste ayant obtenu un succès phénoménal avec un premier disque, rien de plus dangereux que le second. La page blanche, la pression du milieu, le verdict implacable des ventes, les attentes démesurées : tout peut se transformer en guigne du deuxième album. Pas pour Cœur de pirate.

Par Philippe Rezzonico

Deux mois après la parution de Blonde et quatre semaines avant sa rentrée montréalaise au festival Montréal en lumière, le succès est déjà confirmé. Une question demeure : jusqu’où peut-elle aller ? La réponse tient peut-être dans le titre de la première chanson de son album, Lève les voiles. Jusqu’au bout de l’horizon.

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