Norah Jones : la somme de toutes les parties

Norah Jones/Capture d'écran YouTube

Norah Jones/Capture d’écran YouTube

Le concert offert par Norah Jones dimanche soir à la salle Wilfrid-Pelletier est un peu la somme des parties de l’histoire amorcée en 2002 par l’entremise d’un disque qui l’a propulsée au sommet de l’Olympe sans crier gare. Donc, il était une fois…

Par Philippe Rezzonico

Il était une fois une dénommée Norah Jones qui lance en février 2002 un disque intitulé Come Away With Me, sur étiquette Blue Note. Comme toute jeune artiste de 23 ans, elle espère que le disque sera la carte de visite pour une carrière. Ce fut drôlement réussi.

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Billie Joe, Norah, Phil et Don: les musiciens de sang

Billie Joe Armstrong est un punk de la deuxième – sinon de la troisième – génération, leader de Green Day. Norah Jones est la fille d’un musicien légendaire d’un autre continent, révélée par le biais d’une musique légère aux accents jazzés. Penser que ce duo aux antipodes musicaux  allait se plonger dans l’Americana de souche relevait de la pensée magique.

Par Philippe Rezzonico

Néanmoins, leur disque conjoint, Foreverly, est non seulement la preuve que le concept tient la route, mais nous propose l’album de reprises le plus étonnant qui soit, sans que l’on ait l’impression de déjà-vu. Admirons l’audace.

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FIJM, jour 10: Norah Jones ne cause pas, mais elle chante…

Norah Jones a présenté son spectacle à la salle Wilfrid-Pelletier de la Place des Arts. Photo courtoisie FIJM/Denis Alix

J’ai vu le spectacle de Sophie Milman jeudi et je suis allé voir celui de Norah Jones samedi soir. La différence? Sophie, c’est celle que la mère veut comme belle-fille, Norah c’est celle que le gars veut, malgré qu’elle paraisse inaccessible. Je parle de musique, évidemment. Puis, je suis allé terminer ma soirée et mon festival avec les mauvais garçons du Rat Pack is Back. Belle façon de clore le tout.

Par Richard Bousquet

Le spectacle de Norah Jones peut se résumer à la livraison de 21 compositions dont sept tirées de son dernier album Little Broken Hearts, certaines plus magnifiques que d’autres, avec ses quatre comparses – guitare, basse, claviers et batterie – en près d’une heure trente. Madame n’est pas jasante – un «merci» au début, un «vous avez du plaisir au festival de jazz?» au tiers, une anecdote sur son chien aux deux tiers et un «merci d’être là» vers la fin – mais elle sait jouer et chanter.

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