Nous allons voir des spectacles pour nous divertir, pour faire des découvertes et pour (ré) entendre des chansons qui ont une signification pour nous. Parfois, pour toutes ces raisons. Mais il est des shows où nous nous déplaçons pour voir et entendre quelqu’un en particulier. Dans le cas de Garbage, la raison a toujours pour nom Shirley Manson.
Par Philippe Rezzonico
Depuis l’électrochoc vécu au Spectrum en 1996, chaque retour sur scène de Garbage à Montréal permet de mesurer à quel point l’Écossaise fait partie de cette courte liste de bêtes de scène féminines.