Franz Ferdinand : la pérennité

Franz Ferdinand. Photo promotionnelle.

Quiconque ayant assisté au spectacle de Franz Ferdinand, jeudi soir, au Métropolis, en est ressorti satisfait et ragaillardi à la suite de cette prestation vitaminée. On pourrait dire que les Écossais ont livré, une fois de plus, une très solide performance. Mais il y a plus.

Par Philippe Rezzonico

Dans la vie, il y a parfois des spectacles qui font office de découvertes et d’autres, qui font office de consécration. Cela fait longtemps que FF a passé ces deux caps à Montréal. Celui-là était d’un tout autre niveau.

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Passer la semaine au Métropolis…

Simple Minds. Photo de promotion.

Même dans une ville comme Montréal où il y a plusieurs spectacles d’importance chaque soir, il y a parfois des coïncidences : une semaine de festival durant laquelle le Centre-Ville est inondé de monde, deux ou trois spectacles majeurs au Centre Bell ou trois jours de virée au parc Jean-Drapeau. Cette semaine, le trait d’union, c’est une salle, le Métropolis, où des artistes issus de toutes les décennies vont se produire.

Par Philippe Rezzonico

Simple Minds, Papa Roach, Franz Ferdinand, Lamb of God et Cyndi Lauper, dans cet ordre, vont tour à tour fouler les planches de la salle de la rue Sainte-Catherine durant les six prochains jours. Pour la machine à voyager dans le temps, c’est là qu’il faudra être cette semaine.

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Osheaga, jour 1 : Soleil, chaleur, musique, fraises et congestion

Florence + The Machine a soulevé la foule en cette première journée du festival Osheaga 2012. Photo courtoisie evenko/Nick Leger.

Un soleil aussi éclatant que brûlant, plein de bonne musique et une foule monstre qui a un tantinet cherché ses repères sur un site réaménagé : la toute première «salle comble» de l’histoire du festival Osheaga aura été satisfaisante à plus d’un égard, vendredi, mais il fallait faire preuve de patience.

Par Philippe Rezzonico

Dans le métro, déjà. Vers 14h30. Bouchon dans le couloir d’accès pour la rame de la ligne jaune. Agents de sécurité. Policiers. Bon encadrement et bonne fluidité malgré tout. Suis arrivé sur le site du parc Jean-Drapeau 30 minutes plus tard pour un trajet qui en prend normalement dix.

C’était un signe de ce qui allait suivre. Loin, étaient-elles, les premières années du festival, quand une foule de 10, 000 spectateurs sauvait les meubles pour les organisateurs et qu’on se déplaçait d’une scène à l’autre en cinq minutes. La journée de vendredi affichait complet depuis la veille : 40, 000 festivaliers sur le site. Deux Centre Bell bien pleins.

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