Roger Ebert nous a quittés. Et avec lui, un pan phénoménal de l’histoire du journalisme en cinéma. Grand critique et historien de son art, il a laissé un legs incalculable par l’entremise de ses ouvrages, de ses textes et de sa fameuse marque de commerce : le pouce levé ou abaissé.
Par Philippe Rezzonico
Comme critiques, nous lui sommes tous redevables. Pour son expertise, son niveau de vocabulaire cinématographique et son irréprochable passion. Et aussi pour avoir su dire si un film était bon ou mauvais sans tenir compte s’il était financé par un grand studio ou un indépendant.